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Le hall d'entrée du bâtiment historique de l’École normale supérieure, au 45 rue d'Ulm, comprenait une cabine vitrée qui faisait penser à un aquarium, d'où cette appellation étendue à tout le hall d'entrée.
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Ancien élève de l’École normale supérieure.
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Élève reçu premier au concours de l’École normale supérieure (Ulm)
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Statut spécifique à l’École normale supérieure de la rue d'Ulm, agrégés répétiteurs et agrégés préparateurs.
Les agrégés répétiteurs avaient plus particulièrement la charge de préparer les élèves à l'agrégation.
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Terme dont le sens a varié au cours du temps : au XIXe siècle, il désignait des séances trimestrielles au cours desquelles le directeur rendait des appréciations critiques sur les travaux des élèves ; il a ensuite désigné les brimades destinées aux nouveaux élèves lors du bizutage ou Méga ; enfin, dans le cadre de cette enquête, il désigne des farces ou fausses nouvelles élaborées par les élèves aux dépens d'autrui.
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Le 7 janvier 1982, le concours lettres est divisé en deux dont les épreuves sont distinctes : le concours tel qu'il a toujours eu lieu avec les langues anciennes et un concours lettres et sciences sociales. Le concours est alors appelé "S" comme "sciences sociales".
Le premier concours a lieu en 1983. Il comprend des notions de mathématiques fondamentales et des mathématiques appliquées aux sciences humaines. Outre les mathématiques, les candidats doivent composer en français, philosophie, histoire, langue vivante ou version latine ou version grecque. Parmi les options, il est possible de choisir les sciences sociales.
Après la création du Département de sciences sociales à l’École, la dissertation de sciences sociales est devenue une épreuve commune.
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Élève de première année de l’École normale supérieure (Ulm).
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S'emploie au pluriel, "les Ernests" dans l'expression "la cour aux Ernests", qui est la cour intérieure de l’École normale supérieure, abrégée aussi en "Courô".
Les Ernests sont les poissons rouges dans le bassin. Ils porteraient le nom du directeur Ernest Bersot (1871-1880) qui serait à l'origine de la décision de doter le bassin de poissons rouges.
La cour aux Ernests est un lieu particulièrement apprécié par la communauté normalienne.
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Du nom de Jacques Goimard, nom donné aux clandestins au pot (ou réfectoire) de l’École.
Jacques Goimard ayant été recalé lors du passage du concours en 1954, il avait pris l'habitude de venir dîner gratuitement au réfectoire sans être élève de l’École. Il est entré à l’École normale supérieure l'année suivante, dans la promotion littéraire, la même promotion que Pierre Petitmengin, Jacques Lautman, André Lacaux et Jean Métayer.
"Le Goimard" est resté dans le vocabulaire pendant plusieurs années, puis l'usage du terme a disparu. Peut-être lorsque les clandestins n'ont plus été admis en raison de la mise en place d'un système de ticket au réfectoire, au début des années 60, à l'initiative du directeur, Jean Hyppolite.
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Première année de classe préparatoire littéraire pour préparer notamment le concours d'entrée à l’École normale supérieure.
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Deuxième année de classe préparatoire littéraire pour préparer notamment le concours d'entrée à l’École normale supérieure.
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Plusieurs acceptions
Extrait de Rue d'Ulm : chroniques de la vie normalienne. Réunies et présentées par Alain Peyrefitte. Édition du Bicentenaire. Paris : Fayard, 1994, p. 618.
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Plusieurs acceptions : 1) le réfectoire de l’École normale supérieure (Ulm) ; 2) l'intendant chargé de gérer, entre autres choses, le réfectoire ; 3) tout le service de l'intendance.
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Nom donné à l'activité sportive d'après le nom de Robert Ruffin, professeur d'éducation physique à l’École normale supérieure de 1945 à 1976.
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Élève de l’École normale supérieure de jeunes filles (ENSJF) en référence à la première localisation de l’École dans l'ancienne manufacture de Sèvres. Le nom est resté et a été utilisé jusqu'en 1985, date à laquelle l’École normale supérieure de jeunes filles fusionne avec l’École normale supérieure de la rue d'Ulm.
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Catholique pratiquant.
Les élèves catholiques de l’École normale supérieure se réunissaient régulièrement pour la messe et dans le cadre d'activités d’aumônerie. Un "prince tala" était chargé de coordonner les activités et d'être en lien avec l'aumônier.
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Désigne soit les chambres des internes à l’École normale supérieure, soit la salle de travail des internes normaliens.